Inclusion numérique : Deux associations féminines reçoivent du soutien

Dans le cadre de son engagement en faveur de l’inclusion des femmes dans le numérique, Kaspersky (solution internationale de cybersécurité) apporte son soutien à deux initiatives engagées pour l’inclusion numérique des femmes : Africaines in Tech (AIT) et Women Empowerment Community (WEC). Cette action s’inscrit dans la dynamique de la Journée internationale de la femme 2025 célébrée ce mois de mars.
À travers ces actions, ce groupe contribue à l’accès des femmes africaines aux opportunités numériques et à la cybersécurité, notamment à Abidjan, Dakar, Douala et Lomé, où ces associations sont particulièrement actives, à travers le mentorat et des programmes d’accompagnement adaptés aux réalités locales. Cette action vise à réduire ces inégalités par la formation.
L’implication de Kaspersky auprès de ces deux associations se traduit par un appui aux formations en mettant à disposition son expertise en cybersécurité et en protection des données pour accompagner les programmes de formation d’Africaines in Tech et de WEC, ainsi que l’ouverture des ressources de la Kaspersky Academy. Les membres d’Africaines in Tech bénéficieront également d’un accès aux contenus pédagogiques développés par le groupe. Ainsi qu’une mise en avant des modèles féminins inspirants.
Ainsi, dans le cadre de son initiative “Women in the History of Tech”, Kaspersky met à l’honneur Longa Andrea Mbuyamba, fondatrice d’Africaines in Tech, pour son engagement en faveur des femmes dans le numérique. Un jeu interactif pour sensibiliser aux défis professionnels et personnels des femmes dans la tech
En outre, Kaspersky propose un outil immersif, qui permet aux participantes d’explorer des scénarios réalistes et de mieux comprendre les enjeux de carrière dans la tech
Malgré l’évolution rapide du numérique sur le continent, les femmes restent sous-représentées dans les métiers du digital. Selon l’UNESCO, elles ne représentent que 30% des professionnels de la tech en Afrique. Cette sous-représentation est encore plus marquée en cybersécurité, où elles constituent seulement 11 % des effectifs.
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